Résumé : Les seventies sont sur le déclin, mais San Francisco vibre encore d’une énergie contestataire. La libération sexuelle s’affiche sans pudeur dans les rues. Tout droit venue de Cleveland, Mary Ann Singleton s’installe au 28 Barbary Lane, où vit une poignée de célibataires. Logeuse compréhensive et libérale, Mme Madrigal règne en matriarche sur cette bande de « chats errants »…
Les nouvelles chroniques de San Francisco :
La vie est toujours aussi mouvementée pour les habitants du 28 Barbary Lane… Qui est véritablement l’énigmatique Mme Madrigal ? Le séduisant Michael réussira-t-il à trouver l’amant de ses rêves ? Où ses aventures avec le bel amnésique mèneront Mary Ann ?
Autres chroniques de San Francisco :
La tribu du 28 Barbary Lane célèbre comme il se doit la fin des seventies. De l’Alaska à Hollywood, d’une course poursuite à la séquestration d’une présentatrice télé, en passant par un rodéo gay au Nevada, tous prolongent leur quête fantasque du bonheur…
Genre : Historique
Nb de pages : 891
Prix club : 14,50 euros
Avis : Excellente lecture !
Ce roman est un intégral des 3 premiers tomes de la série de livres : Les chroniques de San Francisco. Il m’a gentiment était conseillé par une libraire France loisirs et quand j’ai entendu « San Francisco fin des années 60-70 » et « personnages attachants et pour certains LGBTQ » j’ai foncée. C’est une période de l’histoire que je ne connais pas beaucoup et comme ça parlait communauté LGBTQ, j’me suis dit que c’était l’occasion rêvé pour en apprendre un peu plus.
Je n’ai pas été déçue de ma lecture, au contraire, j’ai passé un excellent moment avec ce livre ! Quand je l’ai lu, j’ai cru vivre dans une série à la Desperate Housewives mais dans les années 70. C’était drôle, beaucoup de situation cocasse et de rebondissement, de vrai enquêtes et surtout des personnages attachants : autant ceux du 28 Barbary Lane que certains personnages secondaires comme Dede et Jon 🙂
Malgré tout j’ai trouver certaines longueurs au début de chaque tome et certaines expression m’ont mise mal à l’aise parce qu’il faut le savoir, le premier tome de cette série est sortie en 1978 et pour l’époque je pense que ces expressions étaient « normal » alors qu’aujourd’hui ça ne l’ai pas et cela peut être considéré comme des expressions homophobes. Mais il faut passé outre ! Parce que ce roman est très bon et j’ai hâte de me plonger dans le second intégral qui représente les tome 4 à 6 de cette série 🙂
JE CONSEILLE A TOUS !
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